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Carte blanche : le numérique pour quelle école, comment et pourquoi faire ?
Questions relatives au numérique scolaire
La question du numérique à l'école est redevenue particulièrement importante dans les discussions dans tous les cercles à l'occasion de l'épisode récent du confinement car il a permis ou non de garder l
En France
Voir aussi enseignement du NSI en France - 20200527 organisé par la SIF
Nicolas Pettiaux, enseignant belge de physique en lycée et informatique en BA1 et BA2 (bac+1 et bac+2), président de l'association educode et organisateur des conférences pour la formation des enseignants au numérique (y compris robotique et programmation) https://2018.educode.be et https://2019.educode.be et maintenant de nombreux cours en ligne voir https://educode.be et https://wiki.educode.be
Question pour tous:
- Qu'est-ce qui est mis en place de manière structurelle par l'éducation nationale pour assurer la formation continue des enseignants actuellement en fonction pour qu'ils puissent donner ces cours ?
- Qu'est-ce qui est mis en place pour que l'état garde la maîtrise de l'informatique enseignée et que les risques soient les plus limités que les GAFAM, et en particulier Google et Microsoft ne se partagent le marché de l'école de facto car ils fournissent un grand nombre d'outils alléchants ?
- Beaucoup de pays d'Europe cherchent à retrouver la maîtrise et la souveraineté de leur système d'information. une difficulté corollaire, on le voit avec cette crise est que quand de nombreux acteurs “normaux” perdent des plumes et des marchés, les grandes sociétés des TIC (gafam et netflix et beaucoup d'autres) gagnent de plus en plus. Et nos états ne savent pas comment les taxer. Il existe pourtant une solution légale assez simple, qui en plus serait cohérente, permettrait vraiment de relocaliser aussi des travailleurs du numérique : imposer que les logiciels achetés et mis en œuvres par toutes les institutions publiques, y compris les écoles soient tous des logiciels libres. Plus encore, nos états pourraient imposer que en plus du gdpr sur les données, il y ait donc des contraintes sur les programmes : les seules logiciels utilisables dans le secteur public sont ceux dont tous le code est 100 % disponible, peut-être utilisé pour tous les usages, peut-être analysé dans tous ses détails (ceci est nécessaire à l'école; en effet qui pourrait admettre qu'on dise en biologie, interdit d'aller voir dans la cellule !), modifié et redistribuer sans aucune contrainte. Pensez-vous qu'il soit possible de recommander fort l'usage des logiciels libres à l'école par tous les enseignants et dans tous les usages administratifs aussi ? (les outils existent !)
- Le ministère de l'éducation a mis en œuvre https://app.education.fr mais ceci est indiqué n'être que temporaire. Est-ce cohérent avec les points ci-dessous, la préservation de la souveraineté numérique et la formation des élèves vers des solutions pérennes ?
En Belgique
Réponse à l'article de Le Soir du 25 mai 2020 le numérique à l'école
- les questions énergétiques développées par Eric dans son article de blog à lier ici
- des questions et références de la lettre de Oliver Debeir et al aux candidats recteurs de ULB
- ref à gendarmerie nationale
- changement de l'OS microsoft vis à vis de linux et ses applications graphiques grâce à WSL
- publicité de microsoft pour le dernier surface
- décision hollandaise de free software for every developpement by administration (Public money, mublic code)
- décision de Munich de revenir à du LL pour tout dès maintenant (après des millions dépensés
- décision du parlement européen
- …
Premier jet et idées à malaxer de Nicolas
à 2 jours d'intervalle le journal Le Soir publier une carte blanche puis une page complète concernant l'école numérique
à nouveau à 12 jours d'intervalle le journal Le Soir publie une carte blanche qui veut dire que il faut pouvoir penser en dehors du cadre puis page entière consacrer au numérique à l'école dans laquelle on se demande si les auteurs ont réellement pu penser en dehors du cadre ou simplement prolonger les solutions dont on a tout à penser tellement peut-être d'analyses Le numérique à l'école et certains problèmes importants et les depuis au moins 30 ans force est de constater que le système scolaire ne sais pas adapté malgré les mots qui ont été fait en effet les Région bruxelloise et wallonne, on investit de l'ordre de 100 million d'euros en matériel. depuis depuis 2000 et nous sommes toujours pas à une utilisation adéquate du numérique encore faut-il savoir ce que celle qui veut dire la solution proposée dans le second article consiste en la mise à disposition de plate-forme de d'ordinateur portable personnel relativement peu cher des Chromebook très très étroitement liés à l' eau solution de Google puisque le système d'exploitation est piloté par google l'entièreté des applications sont en ligne sur les plateformes de Google et que la dépendance en cet outil propriétaire et donc total, on en revient peut-être à se demander si cette solution a fait l'objet d'une analyse approfondie des problèmes des attentes des premiers concernés entre Montre les enseignants et les élèves et s'il ne s'agit pas de solutionnisme technologique alors que le problème est d'une autre nature bien plus profonde. Elle réside dans le site scolaire, elle réside dans le système scolaire actuel pourquoi ne pas penser en dehors du cadre et revoir celui-ci en profondeur le fait de dépendre d'un système d'exploitation propriétaire. Fais de beaux rêves des sujets pas des citoyens critique autonome capable de choix et de créativité et tiens il en est de même des enseignants en effet, si on biologie en chimie en physique l'entièreté du système sans aucune limite peuvent-être remis en cause remis en à l'état de d'objet d'étude et jusqu'en de les moindres éléments. Il n'en n'est pas possible avec tous les outils qui sont des Propriétaire dont le compte code source n'est pas entièrement disponible et également redistribuable selon des modalités qui sont notamment des logiciels libres, on peut aussi se demander si cette solution est conforme aux engagements qui ont été pris par nos élus en juin 2011 juin 2019 et qu'on retrouve dans les déclarations politiques communautaires et déclaration de politique régionale qui prévoit explicitement de mettre à disposition des écoles et des administrations des solutions bases et d'abord sur des logiciels libres et ceci étant bien défini, c'est aussi un engagement dans lequel se profile les Pays-Bas. la Commission européenne qui est à l'heure dans à la ville de Munich 25000 pause de travail qui change pour la deuxième fois de système après être passé vers des logiciels libres repasser en forme suite à de nouvelles élections vers de logiciel propriétaire et maintenant repasser vers du logiciel libre bien sûr à coup de dépenses extrêmement important, c'est sans penser au solution qui existent par exemple chez nos amis les gendarmes français ou dans les administrations France donc les gendarmes français 100 mille postes de travail qui n'utilise que du logiciel propriétaire ou développé dans la maison du logiciel libre ou de logiciel développé dans la maison les administrations française qui de plus en plus dépendre de logiciel libre bien sûr servi par des supports professionnels qui ont l'avantage de pouvoir être locaux et de ne dépendre de personne à l'heure où on remet en cause la nécessaire souveraineté nationale ou souveraineté européenne en matière d'usage des technologies pourquoi servir nos écoles et les bouts des enfants en pâture aux appétit des géants du net Google en particulier, est-ce que il ne faudrait pas plutôt trop les moyens pour un soutien actif à la formation et à la rémunération des entrées des enseignants Pourquoi les patrons des grandes sociétés les femmes met-il leurs enfants dans des écoles californienne où l'usage de la technologie n'est pas prévu en tout cas à la fin du secondaire s'il est question de plus de numérique dans font-elles faut-il peut-être l'an le considérer dans l'ensemble de l'environnement d'apprentissage et pas nécessairement dans la classe sauf pour des utilisation particulière il y a déjà le smartphone s'il est d'usage sont nécessaires par exemple des études universitaires montre depuis longtemps que les élèves qui apprennent et prend une note sur de manière manuscrite après mieux. comprennent mieux et savent retient plus longtemps et sa venue réutiliser dans d'autres circonstances ce qu'ils ont appris ceci est vraisemblablement sur l'usage de la main qui lui-même de la main dans une une grande variété de mouvement ce qui lui-même passe par une grande utilisation de neurones et de connexion entre celle-ci la solution proposée repose sur l'uniformité, est-ce que il ne faudrait pas plutôt rechercher la société est la nouveauté par rapport à la mise en place de solution suranné que nous savons ne pas fonctionner est-ce que des études attentes, ils ont été fait dans des écoles, j'ai enseigné dans une de celle-ci, elle est situé à Bruxelles et les fréquenter principalement par des élèves dans les moyens sont En tout cas ce des entreprises qui souvent payent leur minerval pour savoir si le taux de réussite à l'école et meilleur quand on dispose de tablette pour tous les élèves et tous les enseignants comme c'est le cas dans cette école est-ce que la créativité l'indépendance le le confort psychologique la capacité à apprendre la capacité à faire face à la nouveauté sont améliorées quand chacun dispose en plus de son smartphone qui l'a déjà en général d'un ordinateur, est-ce que l'institution où les institutions doivent proposer des solutions ou des choix est-ce que les les solutions.
Est-ce qu'il ne faut pas revoir aussi les possibilités et évolution de carrière des enseignants qui aujourd'hui pour l'essentiel sont limités à un seul réseau dans ce moment si on veut que l'empire le l'ancien te soit prise en compte et qui est difficilement accessible aux personnes qui ont des parcours en dehors de l'enseignement et dans ces cas-là ne reconnaît pas l'ancienneté.
est-ce que le système aujourd'hui n'est pas un système qui enferme les utilisateurs dans ce que toutes les plateformes recherches c'est-à-dire la le fait que les utilisateurs soit entièrement dépendant de leur écosystème et ne puisse pas aller voir à l'extérieur regarder comment Google Microsoft Apple Facebook Amazon et d'autres cherche à ce que les utilisateurs puisse avoir au sein de leur environnement qui nécessite d'abord une identification d'un système un écosystème dans lequel il propose tout ou presque tous les outils nécessaires, est-ce que il n'est pas préférable de proposer la variété de proposer des systèmes qui suscitent l'intelligence et qui ne sont mis à disposition qu' est qu' est qu' s'ils sont mis à disposition le son dans des environnements généraux et qui favorisent la diversité, est-ce que les auteurs sont allés voir ce qu'elle est le système d'exploitation qu'on utilise dans une des plus grandes universités du monde en l'occurrence le MIT aux États-Unis enfin est-ce qu'il ne faudrait pas aussi assurer le respect de des lois et décrets qui prévoit par exemple qu'une institution publique ne puisse pas subsidier des des outils dont les propriétaires fino sont les Ehpad les écoles on sait que l'enfer est pavé de bonnes intentions, peut-être faudrait-il se poser un certain nombre de ces questions et il faut venir des réponses avant de lancer TBC dans ce qui pourrait bien ressembler à du solutionnisme technologie plutôt que des modifications profond de notre système qui effectivement dès le 1er septembre intégrer le numérique à l'école d'une autre manière qu'il le faisait jusqu'à présent. …